Rando 8 : Funtana Suprana
Parcours ouvert 1.5 km 40 m 40 m
International
France
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Parc de Saleccia
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Découvrez la végétation corse et méditerranéenne mis en scène par un paysagiste. Une promenade nature inédite sur 7 ha. Un vrai moment de détente, de découverte et de partage à vivre entre amis ou en famille. Activités et événements variés.
En bord de mer, aux portes de L'Ile-Rousse, venez visiter un site d'exception sur 7 hectares paysagers.
A travers son circuit botanique, vous découvrirez " l'Art du jardin au cœur du maquis Corse ". C'est la quintessence d'une terre qui s'exprime ici. La Corse peut y être explorée, humée et admirée à travers toutes les plantes de son maquis et les vestiges d'une ancienne activité agricole.

On y chemine entre oliviers, cyprès, lauriers-roses et c'est toute la Méditerranée sublimée dans un cadre exceptionnel. Ouvert au public au printemps 2005, classé "Jardin Remarquable", le parc de Saleccia est un lieu de détente, de découverte et d'inspiration; pour les amoureux des jardins de la Corse et du Sud, c'est un exemple de ce que peut offrir un paysage revisité par l'homme.
Restaurant du jardin (produits locaux et bio, "maison").
Grande aire de jeux enfants, cabanes. Quizz de visite enfant. Animaux de la ferme. Volières. Ruche pédagogique.
Ateliers, animations, événements enfants et adultes.
Possibilité de programmer vos événements tels que mariage, baptêmes, séminaires... au cœur du Parc de Saleccia.

Site web
Tour génoise de Losari
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Cette tour génoise de la fin du VXIe siècle par Angelo Aijcardo est édifiée sur un promontoire à 26m au-dessus de la mer. On y accède par un sentier du côté de la Casa di Losari. Un escalier permet de monter au sommet et d'admirer un panorama à 360°.

Couvent Saint Dominique
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Le couvent de Saint-Dominique fondé en 1456 par deux religieux Franciscains de l’Ordre des Observantins. Après avoir été détruit lors de la Révolution, les Dominicains le reconstruisent en lieu d’étude. Il est occupé par la communauté de Saint-Jean.
Le couvent Saint-François d’Aregno a été fondé par les Frères Mineurs de l’Observance en 1456 Représentant l’un des plus vieux couvents de la province franciscaine de Corse. Sous la Révolution Française, les biens conventuels deviennent « bien national. De 1857 à 1864, les Dominicains s’adonnent à la reconstruction du couvent. Les dominicains le restaurèrent pour en faire une école pour les enfants de la région. Il se dote plus tard, d’un collège de philosophie et de théologie pour les étudiants religieux de la province de PARIS. Après la séparation de l’église et de l’état, les Dominicains sont chassés et le bâtiment devient la propriété de la commune de Corbara. Laissé à l’abandon, des prisonniers Allemands et Autrichiens y sont placés dedans. Puis, en 1927, le couvent revient aux mains des Dominicains pendant 66 années. En 1993, ce sont les frères de Saint-Jean qui reprennent le couvent du fait du départ des anciens. Pasquale de Paoli profita de ses nombreux séjours pour y réunir ses amis et ses conseillers de la région de Balagne. Des personnages illustres y ont séjourné tel que De Didon, Peyrefitte en passant par Roncalli ou encore Maupassant. Il constitue ainsi un véritable emblème pour la commune de Corbara.

Notre Dame du Lazio
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Notre Dame du Lazio de Corbara est un sanctuaire antiques de Balagne reconstruite vers la fin XVIIIe et datant de l'époque médiévale.
C’est le Guido de Sabellis qui, émerveillé par cette délicieuse vallée, donna le nom de sa province d’origine : le latium romain. Édifice reconstruit au cours du 3eme quart du XVIIIème siècle à l’emplacement d’une ancienne chapelle médiévale détruite en 1758 car jugée trop petite pour y accueillir tous les fidèles. Achevé en 1765. Il fut rapidement remplacé par une première chapelle dédiée à la vierge Marie, dont divers manuscrits notent que le frontispice extérieur était décoré de statues et de bas-reliefs. Démolie après 1758, une nouvelle chapelle, plus grande, est terminée en 1765. C’est grâce à ses nombreux pèlerinages, qui donnèrent au curé de Corbara, le titre d’archiprêtre de Notre-Dame du Latiu. Plusieurs cérémonies se déroulent tous les ans dans cette chapelle. Elle est inscrite au titre de l’inventaire des Monuments Historiques de France depuis 1985.

Phare de La Pietra
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Le Phare de la Pietra signale l'entrée sur le littoral nord-ouest de la Corse. Il clôture votre visite sur l'île de la Pietra et vous pourrez y admirer une vue magnifique sur l'arrière pays et sur le bord de mer de Balagne.
Une belle promenade à pied !
Il date du 3ème quart du XIX siècle, période du règne de Napoléon III. Il est bâti sur le point culminant de l’île de la Pietra, reliée par une digue à L’Ile-Rousse. Il signale l’entrée sur le littoral nord-ouest de la Corse.. Le phare dit de « la Pietra » fait partie de la seconde vague d’installation disparu en Corse avec celui d’Ajaccio notamment. Le phare actuel est une tour carrée, centrée sur un soubassement carré, en maçonnerie lisse, peinte en blanc, avec la lanterne peinte en vert. Une maisonnette de gardiennage y est accolée. Il est alimenté par des panneaux solaires. Il est automatisé et ne se visite pas.

Partez à la découverte de l'île de La Pietra et de son phare, récemment embellis et en pleine végétalisation. Profitez de la belle promenade aménagée et laissez-vous émerveiller par les vues panoramiques spectaculaires sur la ville, les villages de Balagne, et les majestueuses montagnes environnantes.

Que vous soyez amateur de nature ou passionné de points de vue à couper le souffle, ce lieu incontournable de L'Ile-Rousse saura vous séduire.

Tour ronde de L'Isula Grande
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Construction militaire qui, au début du 16e siècle, s’est dotée d’une tour ronde chargée de prévenir les attaques des corsaires barbaresques. Elle a été remise à neuf au début des années 1980.

Place Paoli
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Créée en 1834 et inauguré en 1852, cette place est le cœur de la cité. Agréable et accueillante, elle est entourée de platanes centenaires, d’une fontaine «la pompe» agrémentée de statues dont celle du buste du créateur de la cité : Pasquale de Paoli.

Buste de Pasquale Paoli
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Le buste de Pasquale Paoli trône au coeur de la place éponyme de L'Ile-Rousse. Pasquale Paoli a fondé la ville de L'Ile-Rousse durant la Révolution Corse. Héros national, père d'une constitution démocratique, il éclaira l'Europe de ses lumières.

Eglise de la Miséricorde
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Communément appelée « église des Moines », elle a été construite entre 1825 et 1850 par Tony Cardella, grand maître Corse du XIXème siècle. A l’intérieur, se trouvent des peintures du maître dont celle du « chemin de Croix ».

Ancien Couvent des Franciscains
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En 1853, les habitants de L’Ile-Rousse souhaitaient posséder une communauté d’enfants de Saint François. Ancienne maison mitoyenne à l'église de la Miséricorde, il demeura un temps le seul lieu de culte de la ville. Il abrite l'école privée Notre Dame.
Dans la même année, le pape Pie IX autorise la fondation du Couvent des Frères Mineurs de L’Ile-Rousse. En 1855, ces religieux vinrent occuper une maison mitoyenne à l’église Notre Dame de la Miséricorde. Les fondations de cette église sur une petite colline au nord de la ville, au lieu-dit Fornole avaient été posées en 1848. Le bâtiment fut achevé en 1854 et livré au culte en 1855. Ainsi fut fondé le Couvent des Franciscains.

Eglise paroissiale de l'Immaculée Conception
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Élevée en 1887 en remplacement de l’ancienne paroisse du Scalu, puis de Notre-Dame la miséricorde jugée alors trop petite. Elle fut conçue plus grande et plus centrale vis-à-vis de l’agrandissement de la ville.
C’est l’architecte Viale, grand prix de Rome, qui conçoit l’église. Dévastée par le feu en Juillet 1914, elle demeure aujourd’hui, le seul lieu de culte régulièrement fréquenté. Son intérieur est d’une grande simplicité mais il mérite d’être visité. Ainsi, son maître autel, offert par le Duc de Padoue, ancien ministre de l’intérieur de Napoléon II en souvenir de sa femme, le Duchesse Elisa de Padoue, possède à l’arrière une plaque de dédicace sur marbre. De plus, la paroisse est ornée de superbes vitraux consacrés à l’Immaculée Conception de Marie et Santa Agata, patronne des pêcheurs Isulani jusqu’à la fin du 19e siècle. L'église renferme deux tableaux, toiles provenant vraisemblablement de la collection Fesch, propriété de la commune, classés Monument Historique : tableau La tentation du Christ, du 17e siècle; tableau Saint Jérôme, du 17e siècle.

Marché couvert
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Construit en 1844 par Mr Piccioni, maire de l’époque, avec comme but principal de remplacer le marché à ciel ouvert. Il accueille chaque matin les producteurs de la région.
Sa technique de construction est similaire à celle d’un temple antique et son emplacement servait à l’octroi de la porte Suttana. Cet édifice couvert est composé de 21 colonnes qui supportent une charpente en bois recouverte de tuiles. Sa fonction demeure inchangée puisqu’elle est d’offrir un espace couvert au commerce de produits frais. Aujourd’hui, on y trouve toute sorte de produits frais y compris les produits de la mer (poissons, langoustes...) qui, à l’origine étaient vendus dans la halle aux pêcheurs, située face au Scalu. Ce monument est classé Monument Historique depuis 1993.

Caserne militaire
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Actuellement Hôtel de ville, ce bâtiment a été édifié en 1763 par Pasquale de Paoli et fut ensuite occupée par l’état-major de la place militaire de l’Île Rousse et la lieutenance du Roi, installées par le comte de Vaux.
Domaine militaire jusqu’en 1904, elle s’appelait alors Caserne du Général Ambert. Puis, le maire de l’époque, le président Gavini, l’acheta et fit un jour le siège de la mairie et des services sociaux. Les gabelous avaient leur poste dans cette ancienne caserne (aujourd’hui la mairie) ainsi qu’un poste-abri au fond de la petite crique sous le phare de la Pietra. Cette construction était signalée il n’y a pas si longtemps encore sur les cartes d’état-major. Cependant, elle fut reconstruite et sert maintenant de remise de travail d’archéologie marine.

La Poudrière - Tour du Scalu
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La poudrière appelée la Tour du Scalu se trouve sur l’actuelle Place de la Mairie restaurée en 2012, a été construite au 17e siècle, sous le nom de Tour des Fabiani. Elle fut entrepôt de sel, puis poudrière pour fini comme prison.
Les Fabiani étaient une des principales familles de Santa-Reparata, propriétaire du site où elle possédait magazini et botteghe, à l’époque génoise, soit avant la construction du port de L’Île-Rousse par Pascal Paoli. La tour était censée protéger leurs biens. Elle a servi à entreposer du sel qui arrivait des salines provençales. Le sel permettait alors de percevoir une recette fiscale importante : la gabelle. Le 5 avril 1731, la tour est prise par les Corses en révolte contre Gênes. Paoli la fit consolider pour protéger le Palazzu. Mais la tour sera prise par les troupes françaises. Le 25 mai 1769 D’Arcambal prend définitivement possession de l’Île-Rousse. La tour est réquisitionnée et devient la poudrière de la place militaire. En 1900, les bâtiments militaires sont rachetés par la municipalité. En 1943, la tour sert peu de temps de prison pour des détenus soupçonnés de collaboration.

Place du Canon
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Cette place doit son nom à la source Di U Canone qui fut transformée en lavoir. il n'est plus en usage actuellement. Laissez-vous charmer par ses maisons aux volets bleus et sa biscuiterie traditionnelle.
U Canone ne désigne pas le canon de tir d’artillerie mais le canon pompe à eau. Cette place fut précieuse aux militaires de Pasquale de Paoli car elle représentait le seul point d’eau à l’intérieur des remparts de la ville. Elle fut baptisée un temps Piazza di a Funtana Militare (Place de la Fontaine Militaire). Depuis 1970, cet espace a perdu de son caractère mais sa représentation originelle et sa fonction en font une place remarquable.

Môle et Quai d'Orléans
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Le port du Scalo est un ancien port naturel des pêcheurs communément appelé « môle des pêcheurs ». Cette construction a donc toujours été étroitement liée au marché des pêcheurs, situé au bout de la rue Notre Dame et qui fut réhabilité en 2002.
En 1765, Pasquale de Paoli décida de reconstruire un port pour gérer le commerce entre Calvi et Gènes et pour avoir ainsi, une ouverture vers la côte sud de la France. Tous les ports étant occupés soient par les français ou par les génois, P. de Paoli voulu trouver un déboucher pour l’économie Corse et se démarquer en choisissant celui-ci. Une deuxième prolongation de ce port eu lieu sous Louis Philippe, Roi de France, en l’honneur duquel le quai d’Orléans fut baptisé. Un second port fut construit et enfin une troisième et dernière prolongation fut réalisée par Napoléon III. Il a subit une restauration totale portée par la commune en 2004-2005.

Institut des Filles de Marie
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Le port du Scalo est un ancien port naturel des pêcheurs communément appelé « môle des pêcheurs ». Cette construction a donc toujours été étroitement liée au marché des pêcheurs, situé au bout de la rue Notre Dame et qui fut réhabilité en 2002.
En 1765, Pasquale de Paoli décida de reconstruire un port pour gérer le commerce entre Calvi et Gènes et pour avoir ainsi, une ouverture vers la côte sud de la France. Tous les ports étant occupés soient par les français ou par les génois, P. de Paoli voulu trouver un déboucher pour l’économie Corse et se démarquer en choisissant celui-ci. Une deuxième prolongation de ce port eu lieu sous Louis Philippe, Roi de France, en l’honneur duquel le quai d’Orléans fut baptisé. Un second port fut construit et enfin une troisième et dernière prolongation fut réalisée par Napoléon III. Il a subit une restauration totale portée par la commune en 2004-2005.

Le Palazzu Piccioni
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La demeure Piccioni, la plus haute de la ville, est l'un des plus célèbres édifices de L’Île-Rousse. Déçu par la construction d'un simple palais en centre-ville, Sébastien Piccioni, riche exploitant, fit bâtir un véritable château devenu l'hôtel Napoléon.
Sébastien Piccioni, désireux de faire construire une résidence secondaire à L’Ile-Rousse, chargea son fils de cette tache. Celui-ci fit bâtir en 1837, un immeuble magnifique, au rez-de-chaussée duquel se situait la halle aux poissons. Son père estimant que la bâtisse n’était pas à l’image de la splendeur familiale, fit construire le Château Piccioni, pour lequel le tracé de la voie de chemin de fer fut dévié. Cette modification du tracé eut un effet bénéfique pour L’Ile-Rousse, dans la mesure où il entraîna la couverture du Padule, cours d’eau marécageux qui traversait la ville. En 1929, le Château Piccioni fut vendu à la société hôtelière de ravitaillement maritime, qui possédait des hôtels dans tous les ports de ravitaillement, ainsi que des restaurants dans plusieurs aèroports du monde. Louis Altieri, le PDG, fit agrandir le bâtiment et le transforma en hôtel de tourisme.

Dès lors, une clientèle “ de luxe ” séjourna à L’Ile-Rousse : le Prince de Galles, le Roi de Grèce, Pierre Benoît, Jean Chevrier… Le roi du Maroc Mohamed V, en exil, y séjourna du 24 octobre 1953 au 05 février 1954 occupant la totalité du bâtiment avec ses enfants et son harem. Ce bâtiment monumental est dressé en plein cœur de la ville, et les façades viennent d’être restaurées par les actuels propriétaires.

Quai d'Orléans
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La Sirène de l’artiste corse Gabriel Diana, est une sculpture de bronze fondu à la cire de dimension humaine. Sérieuse concurrente de son homologue la Sirène de Copenhague, A Sirenella s'est approché du rivage et a élu domicile sur un rocher de granit.

Eglise San Sebastianu
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De style romain, elle a été détruite au 16e siècle par le roi d’Alger et reconstruite au 17e. En 1887, une restauration a eu lieu afin de mettre en valeur son apparence extérieure. L’église est dotée d’un clocher à 3 cloches et d’un tableau classé rénové.
S’ajoute à cela, d’importants travaux de restauration à l’intérieur de l’église en 2002. Deux chapelles richement décorées et exécutées en stuc font parties intégrante du patrimoine de l’église.

Chapelle Saint François
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De style baroque, elle date de la deuxième moitié du 17e siècle. Sa coupole date du 18e siècle. Sa construction est due à une initiative du père jésuite souhaitant protéger la population des ennemies. On y célèbre chaque année le 16 août la San Roccu.

Ancienne paroisse de San Quilico
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Construite au 11e siècle, détruite et brûlée par une incursion des Turcs qui l’ont dépouillée de ses objets de culte et des registres de desservants. Cette chapelle romane possède une nef unique qui a été consolidée avec seulement les restes des ruines.
Plusieurs tentatives de réhabilitation et de consolidation ont eu lieu pour essayer de la remettre en état, ce qui n’a pas été évident puisque la chapelle a été gravement endommagée par les transformations qu’elle a subi vers le 17e siècle (abside sectionnée, nef allongée). Une “arca” se trouve à l'intérieur comme en témoigne la plaque de marbre sur laquelle est gravée « ANNO 1686 DEL MONTICELLO ». On peut y voir également des plaques funèbres des plus anciens habitants de Monticello.

Chapelle de la Confrérie Saint Charles de Borromée
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Érigée au 17e siècle, elle possède un décor remarquable grâce au marbre pilé qui lui donne un aspect lisse et brillant. La frise décorative intérieure est splendide. Les murs sont recouverts de bois formant deux bancs de chaque côté de la porte d’entrée.

Palazzu
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Cette grande maison privée du 17e et au label VMF est le palais des Fabiani Malaspina qui fut la demeure de Pasquale Paoli de 1790 à 1796. Il abrite un salon orné de fresques représentant l’Isula Rossa au 17e siècle. Il accueillit Napoléon Bonaparte.

Tour de Pianosa
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Dite aussi Cala Rossa ou Di Tre Moline. Érigée au 16e siècle par les Génois à 36 mètres d’altitude au-dessus de la petite anse d'Algaja.

Eglise paroissiale Santa Reparata
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La Paroisse Santa Reparata est située sur un promontoire où s’élèvent l’église et son clocher, construits aux 16e et 17e siècles et très probablement à l’emplacement d’un édifice plus ancien dont ne subsistent que l’abside et le mur Sud du chœur.
Dès l’an 830, le Pape Saint Pascal 1er, manda le Comte BONIFACE, Marquis de TOSCANE, pour ériger en ces lieux une église dédiée au culte de Sainte REPARATE, martyre chrétienne. L’église fut offerte au monastère bénédictin de l’île de la Gorgone, par l’évêque d’ALERIA, en 1095, au temps du Marquis Ugo. La donation aurait été renouvelée en 1098, par le même évêque, qui précisait que ceci était fait pour l’âme du Marquis Ugo et de ceux qui avaient construits cette église. Elle fut agrandie en 1538 puis se dota au 17e siècle d’un campanile à cinq étages, surmonté d’un petit dôme aménagé de baies et cantonné de quatre volutes. Les différents travaux de reconstruction ont souvent utilisé des matériaux de remploi de l’époque romane. La restauration actuelle s’efforce de mettre en évidence ces remplois chaque fois que le parti esthétique le permet. SANTA REPARATA est traditionnellement fêtée, de nos jours, le 1er dimanche d’août mais le véritable jour de sa fête est le 08 octobre.

L’abside Romane polychrome: dispose d’un campanile à cinq étages, est surmonté d’un dôme. L’Abside possède deux autels secondaires dédiés à San Giovanni-Battista et à Santa Maria. S’ajoute à cela, une toile du XVIIème siècle, mais également le tableau de la prédication de Saint Jean-Baptiste tout comme celui de la “Trinité” et des “ mes du Purgatoire”, sont autant de trésors remarquables qui font de ce lieu, un endroit incontournable dans la découverte du village.

Eglise San Roccu d'Occiglioni
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Cette église de style baroque du 18e est dédiée à San Roccu. Elle est en fête le 16 août et donne l’occasion à la population de se retrouver «In allegria» pendant deux jours avec une procession aux flambeaux .
Elle possède un superbe clocher à étages. Elle a été restaurée en 1978 et 1995, selon une technique millénaire consistant à couvrir le mortier encore frais de lait de chaux. Son toit a été refait en 2004. Le toit de la sacristie a été refait, des travaux ont été entrepris pour restaurer et assainir l’intérieur de cette sacristie. Si le toit a été refait par la Mairie de Santa-Reparata, une association dont le siège est à Occiglioni, s’occupe principalement de toutes les restaurations de l’intérieur (M. François Cruciani est le Président de cette association). Cette église possède des décors intérieurs riches. En effet, sous un repeint, les recherches ont permis de découvrir une voûte et des décors autour des autels. Ces décors sont en «Stuccolustro». Ce qui est unique en Corse. Cette technique est très ancienne puisque les Phéniciens la pratiquaient. Elle a été reprise par les maîtres Italiens à partir du 16e siècle. La période du baroque, qui a voulu amplifier et cultiver la magnificence de l’Eglise, a repris cette technique.L’ensemble des éléments sacerdotaux des 17e et 18e siècles sont de très bonne qualité : un calice en argent massif estampillé «Torette» et d’un ostensoir datant du Second Empire, certainement offert par l’Empereur Napoléon III. Cette église est accessible par une ruelle en bon état.

Confrérie Sant'Antone
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La confrérie Sant’Antone, derrière l’église Santa Reparata, a été bâtie en 1600 et a subi une restauration en 2005. Elle fut dotée en 1618 de stalles en bois du maître génois Joannes Andreas Lucchini et de fresques des plafonds.

Chapelle San Bernardinu
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Propriété de la commune, elle se situe à la sortie de Santa Reparata en direction de Monticello. Datant du XVIIème siècle, elle est dédiée à l’illustre prédicateur franciscain Toscan. San Bernardinu est fêté le 20 mai.

Chapelle de l'Annunziata
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Datant du 18e siècle, elle était, à l’origine, un oratoire. Elle renferme un splendide Christ en bois sculpté par Antoine Franceschini, un artisan du village qui avait des dons de guérisseur et des fresques en marbre. Sa toiture a été restaurée en 2003.

Les quatre tours
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Au Moyen Age, Santa Reparata constitua un fief autour de son ancien château et ses quatre tours de Palmentu. La plus ancienne date d'un peu plus de mille ans. Deux d'entre elles, transformées aujourd'hui en habitation, sont encore en partie visibles.

Ruines du Couvent Notre Dame des Anges
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Il fut édifié par les Capucins en 1606 avant d'être abandonné à la Révolution.

L'Ile-Rousse
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C’est au coeur de la Balagne, dans un des plus beaux golfes de Corse, que L’Ile-Rousse vous attend pour des instants de détente et de découverte inoubliables.
Prenez le temps de vivre sur la Place Paoli, sous les yeux du “Babbù” Pascal Paoli. Vous y profiterez des terrasses de café ou d’une partie de pétanque improvisée entre amis et passionnés à l’ombre des platanes centenaires.

Profitez de la balade au fil de la promenade A Marinella qui longe l’une des trois magnifiques plages de sable fin, la plage Napoléon. Elle vous mènera jusqu’à l’île de porphyre ocre, la Pietra. A son sommet se déploient le littoral de Balagne, de Calvi jusqu’à la pointe de l’Agriate, et les villages qui font l’histoire de L’Ile-Rousse. L’endroit rêvé pour y admirer les couchers de soleil et les immortaliser à jamais.

Peuplée depuis la plus haute antiquité, L’Île-Rousse, Lisula en corse, s’est construit à travers l’histoire de la Corse, entre mer et montagne.

L’Île-Rousse fut, durant un millier d’année avant notre ère, une petite ville prospère. D’abord nommée Agilla par les phéniciens, elle devint, plus tard, un comptoir romain et fut rebaptisée Rubico Rocega. Trop proche de la mer, elle subit tant d’invasions qu’elle se dépeuple au profit des villages de Santa Reparata, Monticello, Corbara et Pigna.

C’est vers 1758 que L’Île-Rousse entre dans l’histoire de la Corse grâce à “U Babbù”, Pascal Paoli. Il fait de ce petit comptoir de commerce une ville fortifiée autour d’un port afin d’affaiblir l’activité génoise des ports voisins d’Algajola et de Calvi. L’Île-Rousse que vous connaissez vient de naître.

L’intérieur de la vieille cité offre aux visiteurs l’occasion de flâner sur les vieux pavés à travers les rues aux noms historiques : Pascal Paoli, Napoléon, les frères Arena, Louis Philippe, Agilla. Certaines maisons aux inspirations florentines sont absolument magnifiques. L’église Notre Dame de la Miséricorde, d’abord construite dans la rue Notre Dame, fût reconstruite sur les hauteurs du centre ville et jouxte l’ancien couvent des franciscains. Quant à l’église de l’Immaculée Conception de Marie, notre paroisse, vous la trouverez sur la Place Paoli. Elle attire tous les regards avec son parvis et ses énormes palmiers-dattiers (depuis 1890) à l’ombre desquels nos anciens aiment s’y prélasser et refaire l’histoire…

L'Ile-Rousse
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C’est au coeur de la Balagne, dans un des plus beaux golfes, que L’Ile-Rousse vous attend pour des instants de détente et de découverte inoubliables. De sa Place Paoli à sa Marinella jusqu'au Phare de la Pietra, L'Ile-Rousse regorge de curiosités.
Prenez le temps de vivre sur la Place Paoli, sous les yeux du “Babbù” Pascal Paoli. Vous y profiterez des terrasses de café ou d’une partie de pétanque improvisée entre amis et passionnés à l’ombre des platanes centenaires.

Profitez de la balade au fil de la promenade A Marinella qui longe l’une des trois magnifiques plages de sable fin, la plage Napoléon. Elle vous mènera jusqu’à l’île de porphyre ocre, la Pietra. A son sommet se déploient le littoral de Balagne, de Calvi jusqu’à la pointe de l’Agriate, et les villages qui font l’histoire de L’Ile-Rousse. L’endroit rêvé pour y admirer les couchers de soleil et les immortaliser à jamais.

Peuplée depuis la plus haute antiquité, L’Île-Rousse, Lisula en corse, s’est construit à travers l’histoire de la Corse, entre mer et montagne.

L’Île-Rousse fut, durant un millier d’année avant notre ère, une petite ville prospère. D’abord nommée Agilla par les phéniciens, elle devint, plus tard, un comptoir romain et fut rebaptisée Rubico Rocega. Trop proche de la mer, elle subit tant d’invasions qu’elle se dépeuple au profit des villages de Santa Reparata, Monticello, Corbara et Pigna.

C’est vers 1758 que L’Île-Rousse entre dans l’histoire de la Corse grâce à “U Babbù”, Pascal Paoli. Il fait de ce petit comptoir de commerce une ville fortifiée autour d’un port afin d’affaiblir l’activité génoise des ports voisins d’Algajola et de Calvi. L’Île-Rousse que vous connaissez vient de naître.

L’intérieur de la vieille cité offre aux visiteurs l’occasion de flâner sur les vieux pavés à travers les rues aux noms historiques : Pascal Paoli, Napoléon, les frères Arena, Louis Philippe, Agilla. Certaines maisons aux inspirations florentines sont absolument magnifiques. L’église Notre Dame de la Miséricorde, d’abord construite dans la rue Notre Dame, fût reconstruite sur les hauteurs du centre ville et jouxte l’ancien couvent des franciscains. Quant à l’église de l’Immaculée Conception de Marie, notre paroisse, vous la trouverez sur la Place Paoli. Elle attire tous les regards avec son parvis et ses énormes palmiers-dattiers (depuis 1890) à l’ombre desquels nos anciens aiment s’y prélasser et refaire l’histoire…

Monticello
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Monticello est un petit village pittoresque entouré d’oliviers construit autour d’une jolie petite place si chère à ses habitants. Vous les trouverez au milieu d’une partie de pétanque ou savourant un verre frais, à la terrasse du bar du village.
A l’ombre de l’église et de son clocher, au fil de ses ruelles, vous tomberez sous le charme de cet élégant village,à l’instar de Pascal Paoli dans des temps plus anciens.

Vous y serez heureux ; car le bonheur et la quiétude s’y sont volontiers installés. A quelques pas de la mer, y règnent une ambiance conviviale, et des fêtes de village où tout le monde aime s’y retrouver. Un vrai petit paradis.

Ne ratez pas la Saint Roch le 16 août de chaque année. Après la messe, la procession et la bénédiction, tous les habitants du village se donnent rendez-vous pour y déguster ensemble la fameuse soupe de pois chiche. Vous y croiserez peut-être quelques célébrités qui sont tombées depuis longtemps sous le charme du beau village de Monticello…

Vous êtes un amoureux de la nature ? C’est au lieu dit de Saleccia que vous découvrirez la quintessence des plantes de Méditerranée. Suivez Isabelle au coeur de son magnifique Parc de Saleccia et laisse vous enivrer par les odeurs des plantes du maquis, des oliviers et bien d’autres trésors à y découvrir. Une halte au coeur de ce jardin sera un formidable moment en famille : cabane, aire de jeux et observatoire aux oiseaux raviront les petits comme les grands enfants !

Monticello est la terre des amoureux du sport. Sur les hauteurs du village avec pour paysage la Vallée du Reginu ou le golfe de L’Île-Rousse, vous pourrez vous adonner à votre sport préféré. Chacun y trouera son bonheur : tennis, mini golf, piscine, équitation, poney club, sans oublier les nombreuses randonnées qui jalonnent le village et ses alentours et vous mèneront jusque sur les rives de la Méditerranée.

Site web
Santa Reparata di Balagna
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C’est à cheval sur la colline de Santa Suzanna et le Mont Sant’Angelu que Santa Reparata vous accueille. Choisissez ! Le mariage du vert et du bleu de la Vallée de Palazzi et du golfe de L’Ile-Rousse, ou le vert du bocage de la Vallée du Reginu.
C’est son église qui lui donne son air de Toscane. Regardez ces pierres polychromes et entrez dans l’histoire du village. Le comte Boniface, marquis de Toscane, fit ériger l’église dédiée au culte de Sainte Reparate.

Santa Reparata di Balagna c’est plusieurs villages dans un village. Commencez votre visite à Occiglioni. Au détour d’une ruelle pavée, entre les grandes maisons, découvrez la jolie place et son église qui se dresse face à vous. Avant de partir, ne manquez pas le magnifique panorama qui s’offre à vous de L’Ile-Rousse jusqu’aux rives de l’Agriate.

Partons pour Palmento. Ce hameau tient son nom des nombreux pressoirs à vin aujourd’hui transformés en pressoir à huile. Un détour sur sa place, une promenade dans ses ruelles, un arrêt au pied de la tour carrée, le coup d’œil mérite qu’on s’y arrête.

Retour au village de Santa Reparata et ses hameaux intérieurs comme des quartiers. Prenez le temps de flâner dans les ruelles, de découvrir les nombreuses petites places qui vous invitent à la rencontre de ses habitants.

Il n’est pas le plus touristique de Balagne et pourtant ce village et ses hameaux méritent le détour. Venez rencontrez ceux et celles qui font vivre le village. Passez la porte du mercatellu et ses produits « made in corsica », venez rencontrer Colette et son atelier de cuir à Occiglioni, découvrez les oeuvres de l’atelier Codolina et savourez les douceurs du miel de Jean-Claude et François et la saveur ancestrale des biscuits de Joséphine.

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